3 questions à.. Odace

Antonin Assié et Guillaume Benech, fondateurs d’Odace.

Pourquoi avoir créé Odace, il y a près de 4 ans maintenant ?

Notre première aventure entrepreneuriale était un magazine papier, écrit par et pour les jeunes, diffusé en kiosque. Quand elle s’est arrêtée, nous avions respectivement 18 et 19 ans et une terrible envie de continuer à produire du contenu tout en se positionnant sur les usages réels de notre génération : fini le papier, bonjour la vidéo ! Désormais, nous produisons plus de 6 000 contenus vidéo par an pour des marques, institutions et médias, avec une ambition : apporter un maximum de valeur au quotidien sur les réseaux sociaux.

Quelles sont les choses à faire et à ne pas faire, quand on est une entreprise sur les nouveaux réseaux sociaux ?

Auparavant, les entreprises appliquaient une communication « top down » sur les réseaux sociaux, sans forcément chercher à engager leur public. Depuis l’arrivée de TikTok et la transition des plateformes vers la vidéo, il est crucial d’avoir une stratégie de contenu pertinente. En somme, on n’est plus sur les réseaux sociaux pour communiquer, mais pour converser. C’est un moyen de construire des communautés, d’agréger les individus qui adhèrent aux valeurs de l’entreprise, lesquelles se nourrissent de ses services.

Chez Odace, vous accompagnez également des médias. Que représentent aujourd’hui ces nouveaux réseaux sociaux pour eux ?

La vidéo est un medium remarquable pour développer son audience et ses revenus. S’il était complexe de monétiser des contenus statiques sur les réseaux sociaux, la portée des vidéos permet de générer de nouveaux revenus, en natif ou en brand-content. C’est une opportunité pour les médias traditionnels qui réussissent ce pari tout en constituant de nouvelles audiences, plus jeunes. Bayard Jeunesse et Europe 1, que nous accompagnons, ont connu une croissance formidable (+400% en 3 mois pour l’Europe !).

Vae Solis Communications pour Odace​